Marc RIGHETTI. Conseil en Homéopathie Uniciste.
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Le meilleur chemin pour retrouver équilibre et santé !
Pour se maintenir en vie, tout organisme doit en permanence accomplir toute une foule de tâches. Réguler la température, se reposer, se nourrir, s'oxygéner, éliminer les déchets, réparer les tissus endommagés, éliminer ce qui ne fonctionne plus, etc.
Ainsi, s'il est soumis au froid, il cherche à se réchauffer, si la vessie est pleine, il la vide, etc.
Tout est orchestré pour que quand quelque chose part dans la mauvaise direction, aussitôt le contraire est produit pour revenir à l'équilibre.
D'ailleurs, si on nous pousse en arrière, instinctivement nous essayons d'aller en avant pour ne pas tomber.
Ce mécanisme de correction continue des déséquilibres est donc mis en œuvre du niveau cellulaire au niveau de l'être entier. Il constitue d'ailleurs la clef du traitement homéopathique.
Quand tout cela est bien effectué, on parle de bonne santé.
Hélas, cet état de bonne santé n'est pas toujours ce qu'on constate.
Il arrive que face à un stress, l'organisme n'arrive pas à surmonter l'obstacle et prenne alors des décisions qui ne lui permettent pas de revenir à la normale.
Il passe alors de l'état de bonne santé à celui de maladie.
Le vivant étant d'une grande complexité, chaque organisme va être malade à sa manière.
Par exemple, lors d'une grippe, on peut avoir une fièvre, plus ou moins forte, de la toux, sèche ou grasse, des courbatures, des douleurs osseuses, mal à la tête, être énervé ou abattu, transpirer, avoir chaud, mourir de froid.
Bien sûr, on ne peut pas avoir tous les symptômes possibles à chaque fois qu'on attrape une grippe !
Chaque patient aura sa grippe à lui, avec un cortège de symptômes qui lui sera propre, en fonction de l'impact de l'agent agresseur et de la manière dont l'organisme aura décidé de gérer cette perturbation, ce déséquilibre, selon ses moyens.
Ce qui est vrai dans le cas de maladies aiguës l'est également pour les maladies chroniques.
Prenons le cas d'un rhumatisme. Tous les patients n'auront pas mal au même endroit. Certains seront plus sensibles à l'humidité que d'autres. Certains auront plus mal au repos qu'en bougeant, et vice-versa. Dans un cas, une articulation douloureuse sera soulagée par le chaud alors qu'un autre préférera y mettre du froid. La maladie pourra s'être installée rapidement ou lentement.
Chaque organisme est donc malade à sa manière et bien peu s'étonnent du fait que la médecine classique veuille soigner tout le monde avec une méthode unique pour un même "nom de maladie".
Chaque organisme étant malade à sa manière, avec son cortège de symptômes plus ou moins spécifiques, l'Homéopathie Uniciste propose logiquement d'apporter une réponse individualisée.
Ceci passe par le choix d'une substance dynamisée et en très faible quantité, apte à produire un état semblable à l'état particulier du malade, provoquant une réaction de l'organisme qui, toujours dans son objectif de maintien de l'équilibre, poussera alors en sens inverse de son état de maladie légèrement aggravé par la substance dynamisée, revenant ainsi vers l'état de santé.
Cette aggravation est comme un « choc » destiné à faire réagir l'organisme afin qu'il reprenne le droit chemin et enclenche les processus d'auto-guérison, qui sont la règle chez une personne en bonne santé. Ceci dit, que le traitement fonctionne ou pas, les quantités sont tellement faibles que vous ne subirez pas d'intoxication chimique.
L'Homéopathie Uniciste considère un être vivant dans sa globalité, dans toute la diversité de l'expression du désaccordement qui produit l'état de maladie.
Il n'y a pas de scission artificielle entre les différentes parties où s'exprime la maladie.
De même, l'Homéopathie Uniciste n'admet pas la frontière artificielle entre les symptômes physiques et psychiques. Par exemple, l'humeur d'un enfant qui couve quelque chose va souvent varier avant que la maladie se révèle. Il pourra être grognon, pleurnichard, éteint ou surexcité. Viendront ensuite s'ajouter les symptômes physiques. Toute cette suite de symptômes relève bien de la même maladie.
L'erreur de la plupart des méthodes thérapeutiques provient du fond des âges. En effet, on a toujours essayé de "soigner" l'endroit où se manifestait la perturbation.
Ainsi pour un mal à la gorge on a longtemps avalé un sirop ou une préparation qui le soulagerait. Un eczéma ou un psoriasis sont encore de nos jours souvent gérés à coup de pommade éventuellement à la cortisone alors qu'ils traduisent clairement une perturbation interne. Une verrue ? On la brûle !
Cette erreur perdure encore de nos jours que ce soit en médecine classique ou dans la plupart des thérapies alternatives. On va nous parler de l'organe malade qu'il faut soigner.
Mais autour de l'organe malade il y a une personne qui représente un tout indissociable, et c'est cette globalité qui est malade et qu'il faut soigner ! L'organe ne flotte pas dans le néant ! S'acharner dessus est une belle illustration du proverbe chinois qui dit : « Quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt ».
Contrairement à une voiture, un humain n'est pas un ensemble de pièces ou organes interchangeables et relativement indépendants les uns des autres !
L'humain est du domaine du vivant, donc auto-géré, auto-administré, auto-réparable et réparé en permanence, dans chaque recoin de l'organisme simultanément et en permanence, ce qu'une machine est bien incapable de faire.
Si l'organisme perturbé est capable de produire des symptômes, alors une fois la bonne direction reprise, il cesse d'exprimer ces symptômes.
Par exemple, une personne ayant vécu une très grande frayeur peut pendant des années, voire jusqu'à la fin de sa vie, produire des symptômes de panique, des palpitations cardiaques, de l'agoraphobie, de l'anxiété, des difficultés respiratoires, une sensation d'étouffement, rétention d'urine, etc.
C'est son organisme et lui seul qui produit ces symptômes. Rien ni personne n'oblige son cœur à battre la chamade, ne l'empêche de respirer.
Les symptômes sont produits par l'organisme et par lui seul, y compris dans la plupart des maladies infectieuses. Ce n'est pas le virus de la grippe qui fait monter la température, c'est l'organisme qui choisit cette stratégie de lutte, ce n'est pas le virus du rhume qui fait couler le nez, il n'y a pas un microbe de l'arthrose.
Pour en revenir à la personne bloquée dans son état de choc dû à une grande frayeur, si on lui administre la substance dynamisée correctement choisie, tous ses symptômes cesseront rapidement, l'organisme étant revenu à la normale.
Il en va ainsi pour de nombreuses maladies, qu'elles soient aiguës ou chroniques.
Contrairement à beaucoup d'autres méthodes thérapeutiques, l'Homéopathie Uniciste n'applique pas la logique « un symptôme => un médicament ». S'acharner à faire disparaître le moindre symptôme peut apporter un soulagement à court terme mais ne règle absolument pas le problème. Le déséquilibre est toujours là, l'organisme continuera toujours d'aller dans la direction qu'il a choisie, même si c'est la mauvaise. Au contraire, il s'y emploiera d'autant plus qu'on aura essayé de l'en empêcher, constant dans sa tendance à pousser dans le sens contraire de ce qu'il prend pour une perturbation, en l’occurrence le traitement.
On voit ainsi des enfants faire angine sur angine. L'antibiotique tue peut-être la bactérie responsable mais il n'arme pas l'organisme pour éviter de refaire une angine, symptôme (parmi d'autres) que l'organisme a choisi de produire pour tenter de gérer une perturbation interne. Dans ce type de cas, l'homéopathe ne se contentera pas de « taper » sur l'angine. Dans un premier temps, il aidera l'organisme du malade à effectivement guérir de cette angine, mais surtout il cherchera d'autres symptômes concomitants et éventuellement des causes de perturbations pour trouver la substance dynamisée adéquate qui couvrira l'ensemble du tableau et permettra à l'organisme de reprendre la bonne direction. Une fois ceci accompli, l'organisme n'aura plus besoin de faire des angines et saura très bien gérer par lui-même ce que certains prennent pour un « problème de bactéries ».
Service gratuit et accessible à tous
Il est important de n'utiliser qu'une substance dynamisée à la fois pour les raisons suivantes :
- Si on en emploie plusieurs à la fois, on pousse l'organisme dans plusieurs directions simultanées et il devient alors compliqué pour lui de comprendre dans quelle direction opposée il doit produire son effort.
- En ne donnant qu'une substance à la fois on peut clairement observer le résultat. Dès lors qu'il y en a plusieurs on ne sait pas laquelle a produit quoi.
L'Homéopathie Uniciste peut potentiellement intervenir positivement dans toutes les maladies ou dysfonctionnements de l'organisme, ceci à tous les âges de la vie.
En voici quelques exemples :
Maladies chroniques, allergies, asthme, eczéma, psoriasis et autres problèmes de peau, rhumatismes, goutte, cholestérol, enfants agités, divers troubles du comportement, boulimie, anorexie, maux d'estomac, divers problèmes digestifs, burn-out, dépression, chocs émotionnels, états post-traumatiques, insomnies, circulation sanguine, dérèglement hormonaux, problèmes de règles, stérilité, troubles de la ménopause, grippes, angines, otites, a fortiori quand elles ont une tendance à la récidive, etc.
Bien sûr, surtout dans le cas d'une maladie aiguë, si le résultat ne semble pas rapidement au rendez-vous, consultez votre médecin traitant sans trop tarder !
Dans tous les cas, il est impératif de garder et consulter son médecin traitant, y compris pour suivre l'évolution d'une maladie chronique. Des examens cliniques n'attesteront que mieux de la réussite de l'Unicisme sur votre pathologie.